Review of Modern physics Volume 29 Number 3 July 1957
Negative
mass in general relativity
H. Bondi
King’s College, University of
London, London England
Traduction : J. Fric qui endosse la
responsabilité des erreurs que sa traduction aurait pu introduire.
Masses négatives en Relativité
Générale
1
Même si certains arguments
associés à la masse négative sont plutôt élémentaires et bien connus, il est
cependant intéressant de bien préciser ce que nous entendons sous ce vocable.
De prime abord, sans se
référer à une théorie, nous pouvons distinguer trois types de masses définies
par la mesure qu’on en fait : masse inertielle, masse gravitationnelle
passive, masse gravitationnelle active. La masse inertielle est le coefficient
qui intervient ( et qui est défini par) dans la seconde loi de Newton ( f
= m.a) , la force « f » devant être de nature non
gravitationnelle ( électromagnétique par exemple) pour s’assurer de
l’indépendance des masses ; la masse passive est celle sur laquelle le
champ gravitationnel agit ( couplage avec le champ), définie par f = -m.gradV; la masse active est celle qui est la source
du champ gravitationnel et est donc celle qui intervient dans l’équation de
Poisson et la loi de Gauss.
En physique Newtonienne la
loi de l’action et de la réaction implique l’égalité des masses
gravitationnelles actives et passives, mais leur égalité avec la masse
inertielle est un constat empirique
distinct. Le signe de ces masses peut prendre n’importe quelle valeur et c’est
un autre fait empirique qu’on le considère toujours positif. Si on ne prend pas
en compte ce dernier fait, alors quatre cas sont possibles.
(i) Toutes les masses sont
positives : c’est le cas classique.
(ii) La masse inertielle est négative, les masses
gravitationnelles sont positives. Un corps fait de telle matière va se
comporter à l’inverse du cas standard lorsque soumis à toutes les forces quelles que soient leur
nature, mais va générer des forces gravitationnelles classiques.
(iii)
Masse
inertielle positive, masses gravitationnelles négatives. Dans ce cas, les
forces non gravitationnelles vont avoir le comportement habituel, mais si on
considère les interactions gravitationnelles entre ces masses et les masses de type (i), c'est-à-dire
positives, on a une loi de coulomb « inversée ». Les masses de même
nature (deux masses positives entre elles ou deux masses négatives entre elles)
s’attirent, les masses de nature différentes (une masse négative en interaction
avec une masse positive) se repoussent
(iv)
Toutes
les masses sont négatives. On va arriver à une combinaison de (ii) et (iii). Un corps fait de
cette matière va se comporter à l’inverse du cas classique pour les forces non
gravitationnelles, va se comporter comme la matière ordinaire vis-à-vis des
forces gravitationnelles, mais va générer des champs gravitationnels répulsifs.
En Relativité la situation
est différente. Le principe d’équivalence est inhérent à la théorie. Donc, le
rapport entre la masse inertielle et la masse gravitationnelle passive est le
même pour tous les corps. La relation entre la masse passive et la masse active
n’est pas contrainte par quoi que ce soit comme la troisième loi de Newton, car
ceci impliquerait des intégrales sur des régions étendues de l’espace temps qui
ne possèdent pas le caractère tensoriel requis.
Pas mal de travaux ont été
réalisés qui montrent que la relation est plutôt compliquée.
Tant que la Relativité est
considérée comme une pure théorie de la gravitation, les masses passives et
actives, en fait, n’apparaissent pas.
La masse gravitationnelle
active apparaît, comme une constante d’intégration, pour la première fois dans
la solution de Schwarzschild. Si cette constante est
considérée positive, alors les particules de test, vont, en première
approximation, suivre des orbites Newtoniennes correspondantes à l’attraction
gravitationnelle du corps central. Si, cependant, on prend cette constante
négative, les particules de test vont décrire des orbites qui correspondent à
un cas « Newtonien , mais répulsif. Remarquons
que dans le premier cas, tous les corps sont attirés,
dans le second tous les corps sont repoussés.
Quittons le problème à un
corps et intéressons nous au problème à deux corps, où une situation peu
commune se produit.
Supposons un corps de masse
négative et un corps de masse positive séparés dans l’espace vide.
Alors, en utilisant le
langage de l’approximation Newtonienne, le corps positif va attirer le corps
négatif (car il attire tous les corps), tandis que le corps négatif va repousser
le corps positif (car il repousse tous les corps). Si le mouvement ne se
produit que sur la ligne des centres, alors on peut escompter que la paire va
s’éloigner avec une accélération constante.
Ce résultat plutôt
surprenant, nécessite manifestement confirmation par modélisation dans le cadre
de la Relativité générale.
2
Les systèmes uniformément
accélérés sont bien connus en Relativité générale ( et
Restreinte), mais cela n’est pas inutile de rappeler brièvement les propriétés
principales de tels systèmes.
Le concept d’accélération
uniforme classique, peut être généralisé en Relativité Restreinte de
différentes façons, mais l’une d’entre elles fondée sur la stationnarité est
d’une importance particulière.
Le système est décrit dans
ce cas par l’équation =
constante.
( Le système est unidimensionnel en espace, est le temps)
Les orbites de toutes les
particules dans le plan associé, forment un système d’hyperboles d’asymptotes
fixes.
Ces particules ont toutes
une accélération uniforme, dans le sens où le mouvement de chaque particule , du point de vue de l’autre est constant dans le
temps.
Cependant, alors que
l’accélération est uniforme en chaque point elle est différente en différent
points.
En gros, plus la trajectoire
de la particule passe près de l’origine
plus l’accélération est grande.
La caractéristique
remarquable de ce système est sa stationnarité.
Si chaque particule héberge
un observateur mesurant la distance à une autre particule suivant le même
mouvement (la trajectoire ?), il va
trouver que cette distance ne varie pas dans le temps, bien que pour un
observateur fixe , lui et l’autre particule ont des accélérations différentes.
La métrique de Minkowski
habituelle peut être transformée en celle associée à un référentiel uniformément
accéléré par la transformation
Ceci donne la métrique ds² = z²dt²-dx²-dy²-dz².
Il est clair que cette
métrique ne décrit pas tout l’espace, mais est bornée par des asymptotes qui se
comportent comme des horizons, en conséquence la métrique ne couvre qu’un quart
de l’espace temps ( Fig 1)
Maintenant attachons nous à
construire le modèle correspondant à deux corps de masses de signe opposé, en
Relativité Générale.
Utilisons le référentiel
uniformément accéléré et plaçons y deux corps de masses finies de signe de
masse opposés. Dans le référentiel uniformément accéléré, le système va être à
symétrie axiale, nous pouvons donc utiliser la métrique de Weyl et Levi Civita
Dans cette métrique, nous
avons, dans le vide,
où satisfont
L’opérateur décrit en (2)
sera noté
Il est bien connu,
qu’on associe à cette métrique une
condition de cohérence. Dans notre contexte, nous allons l’exprimer sous une
forme légèrement différente de la forme usuelle.
Fig 1. La région hachurée à droite est associée au demi
espace z>=0 et aussi à l’espace entier
Pour toute trajectoire
fermée dans le vide (même incluant une région non vide) de (3) et (4) nous
tirons
du théorème de divergence,
l’intégrale étant prise à travers la partie du plan méridien délimité par la
courbe C.
On a supposé ici que la
métrique avait la forme (1) dans toute la région bien qu’elle ne satisfait pas
forcément les équations (2) (3) et (4).
La métrique (1) n’est pas en
fait la métrique la plus générale pour une région statique à symétrie axiale, non vide mais elle est
suffisamment générale pour le modèle que nous nous proposons de construire.
Il est facile de montrer
que :
Le type de spécialisation
impliqué par le choix de la métrique (1) apparaît clairement dans (7). La
condition T12 fini, sur l’axe, impose que sur .
Sans perdre en généralité,
nous pouvons poser sur
Si nous supposons qu’il n’y
a pas de matière en ,
alors cette condition peut aussi être déduite de (5).
Nous pouvons maintenant construire
un équivalent Newtonien de notre système, dans lequel
sont des coordonnées
cylindriques polaires et dans lequel
est le potentiel
gravitationnel (en unités gravitationnelles). Dans le vide il satisfait à l’équation de Laplace (2).
Aussi longtemps qu’il est petit (3) et (4) impliquent que est du second ordre. L’équation (6) est alors,
au premier ordre identique à l’équation de Poisson tandis que les équations
(7), (8) et (9) impliquent que le facteur de « stress » dans le
tenseur énergie impulsion est petit par
rapport à l’énergie liée à la densité.
La signification de la
condition de cohérence (5) est maintenant claire : La force
gravitationnelle sur un corps entouré par un espace vide doit avoir une
composante qui est nulle. Comme les autres composantes
sont nulles par symétrie, (5) est simplement la condition d’équilibre
Newtonienne. Nous pouvons maintenant considérer comme
le potentiel Newtonien exact du système équivalent Newtonien bien que la
densité du système Newtonien ne soit pas exactement la même que celle du
système relativiste.
Comme l’équation de Laplace
est linéaire, nous pouvons bien entendu superposer les solutions. En
particulier, s’il y a deux corps [ par exemple, deux
régions séparées dans lesquelles (2) ne s’applique pas ], alors les deux
solutions correspondantes peuvent être superposées , à condition que (5)
s’applique séparément pour chaque corps. Rappelons à toutes fins utiles
quelques théorèmes de gravitation Newtonienne.
i)
Si
à et sauf
dans une seule région fermée finie, alors la condition (5) est satisfaite.
ii)
Si à et sauf
dans une région fermée finie qui est totalement incluse entièrement dans la
région et dans laquelle alors pour tout
iii)
à et sauf
dans deux régions fermées finies, l’une totalement incluse dans et l’autre dans et que dans chacune, est d’un signe, alors la condition (5) ne peut
pas être satisfaite. Ce résultat important découle de (i) et (ii),. Si est
coupé en deux parties 1 satisfaisant à l’équation de Laplace sauf dans le
corps 1 et ²
idem sauf pour le corps 2, alors la condition (5) pour le corps (1) exige que :
En vertu de (i) le premier
terme s’annule, le second ne peut pas s’annuler en vertu de (ii). Le théorème montre qu’il n’y a pas de solution
statique en relativité générale pour un problème à deux corps, constitués de
types différents de matière associées à des masses de signe différents,
localisées de chaque côté d’une surface définie par z = constante, avec une
métrique tendant vers celle de Minkowski à l’infini.
Nous allons maintenant
montrer que si on peut éliminer cette dernière condition, alors une telle
solution devient possible.
3
La métrique uniformément
accélérée
peut être transformée en celle de Weyl Levy-Civita (1) par la transformation
et a est une constante arbitraire. Ce que nous appellerons 0 satisfait l’équation de Laplace dans toute la partie concernée de
l’espace, par exemple sur, , .
Comme nous l’avons vu avant,
la métrique uniformément accélérée ne décrit qu’une partie de l’espace temps et
la singularité à ,
ne doit pas nous surprendre.
Remarquons que pour ,
Considérons le problème à
deux corps conformément à (iii), mais additionnons le
potentiel 0 .
Cela implique que nous
abandonnons la condition aux limites, que l’espace est Minkowskien à l’infini
et que nous la remplaçons par une condition appropriée aux référentiels
uniformément accéléré, dans un espace temps qui est plat à l’infini. Si chacun
des corps est entièrement dans et si dans le corps (corps 1) dans la région
de le
plus faible
, tandis que dans l’autre ( corps2) alors la condition (5) peut être satisfaite,
dans les circonstances adéquates. Pour cela, à l’intérieur du corps 1, ,
et dans le corps 2 Comme ,
dans les deux régions, les signes ne sont
plus des arguments qui interdisent une solution stationnaire.
Pour en établir la
possibilité, nous allons procéder comme suit. Soit B1 et B2 deux
régions finies d’espace avec B1 entièrement dans
et B2 dans où Soit 1 solution de l’équation de Laplace partout à l’extérieur de B1, avec 1 --> 0 à
l’infini, avec dans
B1. De même soit 2 solution
de l’équation de Laplace partout à l’extérieur de B2, et qui tend vers 0 à l’infini,
mais avec dans B2. Ensuite considérons :
où a
dans 0
est une constante et k,
l sont des constantes à déterminer, avec l,k > 0
et Si la condition (5) est satisfaite
pour B1 et B2 alors :
Comme le facteur k peut
être ignoré dans (15), cette équation peut être considérée comme une équation
déterminant l. De plus, comme dans B1
l va être positif. De même (16) détermine une valeur
de k positive. Toutes les conditions du problème sont alors
satisfaites ; et nous avons abouti dans la construction d’une solution du
problème de deux corps de densité de masse de signe opposé uniformément
accélérés.
Par exemple si nous pouvons
prendre a=0 et
Ici par simplicité, h1 et h2 sont les paramètres plutôt que k et l.
La condition (16) devient,
comme dans B2,
Si a2 << h2- h1, alors ceci
devient en fait
Comme m1 est négatif.
De même nous devons avoir,
si a1 << h2 - h1 et a1
<< h1
Il s’ensuit que dans les
deux corps les dérivées de 0 sont du même ordre de grandeur que les dérivées des potentiels qu’ils produisent.
Dans ce cas, les potentiels Newtoniens des deux corps sont petits, les dérivées
de vont être petites au second ordre, malgré les
termes additionnels dus à 0. En conséquence les densités sont d’un ordre de grandeur supérieur que
les « stress » , et sont elles mêmes, du
premier ordre, donné par
De (12) et (13)
Il peut être intéressant de
considérer le système dans le référentiel galiléen de départ à
[où]
Alors les corps apparaissent
sous forme de sphères centrées à et
de rayons Les densités sont toujours données par (26) et donc les masses sont
,
tandis que les accélérations sont
Dans la limite Newtonienne
les accélérations auraient été données par
Ceci sera approximativement
le cas, pourvu que h2 – h1 << h1
C'est-à-dire, pourvu que le
produit de l’accélération et de la distance qui les sépare soit petit.
Ceci est une limitation
appropriée pour le cas Newtonien. Il est
intéressant de noter que les masses ne sont pas égales et opposées, mais ceci
n’est pas surprenant puisque leurs accélérations doivent être différentes dans
le modèle uniformément accéléré.
4
La métrique construite dans
le chapitre précédent présente une singularité à
Ceci n’est pas surprenant ,
du fait que la métrique uniformément accélérée contient
une telle singularité, qui est d’ailleurs purement artificielle et qui peut
être éliminée en retournant à la métrique originale .Une
telle élimination est elle possible également si nous avons
Remarquons d’abord que si ,
l’espace entier défini par correspond
à z >= 0 dans et
à un quart de l’espace temps ; dans
Par les mêmes équations de
transformation :
Nous avons maintenant la
métrique
où la partie singulière de la métrique apparaît
explicitement et où nous nous intéressons à seulement à z >= 0.
Il est facile de voir que
est une fonction régulière de z et r. De plus, il est établi que pour, z
petit, peut être développé en série de puissance de z²
de coefficients dépendant de r, les coefficients eux-mêmes pouvant
être développés en série de puissance de r² pour r
petit. Remarquons que
est également de la même nature.
Définissons maintenant
nous arrivons à la métrique
où les coefficients ,
sont des fonctions de seulement ,
Notons que cette métrique est invariante sous n’importe quelle transformation
de Lorentz ,
montrant que nous traitons bien le cas d’une accélération uniforme, bien que
nous ne soyons plus dans un espace temps plat. Du fait de l’équation (33), la
métrique (34) n’est valide que pour
Qu’arrive t’il sur, et au
delà de cette frontière ?
La structure de ’34) montre
clairement que cette frontière est
délimitée par des parties de deux géodésiques de type lumière.
De plus, une comparaison
laborieuse des coefficients permet d’évaluer les expressions de ,
à partir de et
En considérant cette expression, on peut
établir , en tenant compte du comportement de et de pour z petit comme sus mentionné, que les trois nouveaux coefficients peuvent
être développés en série de puissance de
,
à proximité de la frontière, les coefficients des termes de cette série étant
des fonctions de qui eux-mêmes peuvent être développés en puissances de ²,
au voisinage de =0.
De ce fait la métrique est parfaitement régulière sur la frontière.
Comme la frontière est une
géodésique de type lumière, la prolongation de la métrique au-delà n’est pas
définie de façon unique. Il serait agréable de trouver une prolongation de la
métrique (34) dépourvue de singularités et de matière, et qui recouvrerait tout
l’espace temps.
La recherche d’une telle
solution se heurte à de redoutables difficultés mathématiques et pour l’instant
reste inaccessible. Un autre problème essentiel serait d’établir l’existence
d’un tel prolongement de la métrique, malheureusement hors de portée pour
l’instant.
Une solution d’un autre type
a cependant été trouvée. Si on suppose que (34) conserve sa forme pour tout et ,
alors on peut obtenir une métrique qui est symétrique par rapport à =
0 et =0.
Dans la région ,
les coefficients ne dépendent que de et
sur la variable de type temps (
et de même sur tant que ,
l’image miroir des conditions va
s’appliquer, c'est-à-dire qu’on va avoir deux corps de masses de signe opposé
uniformément accélérés). La seule question, pour décider de la validité de ce type de solution est : Y a-t-il une
métrique d’espace vide de ce type pour qui satisfait aux niveau de continuité que
nous avons défini pour notre métrique précédemment obtenue pour Remarquons d’abord que la transformation
avec
génère la métrique
du moment que de (34) sont convenablement reliés aux
de (36). En fait il apparaît que les expressions pour en
termes de sont
identiques à celles en termes de et ,
si on remplace respectivement par
En conséquence, nous avons
trouvé une métrique continûment compatible
à notre métrique originale en prolongeant la métrique intermédiaire (34)
au delà de la frontière.
Le comportement de (36) loin
de la frontière est régi dans l’espace
vide par les équations
Comme (37) est une équation
hyperbolique, nous n’aurons pas de singularités pour T>=0, R>=0, si et sont donnés en tant que fonction paires de R
de façon non singulières à T=0. C’est bien le cas, du fait des propriétés de et
de la relation de avec comme
sus mentionné.
En fait au voisinage de T=0,
peut être développé en puissance de T²
avec des coefficients qui sont eux-mêmes développables en puissance de R²,
en vertu de la propriété correspondante de.
En conséquence sera non singulier. Comme pour
, le seul doute au sujet du caractère
non singulier provient du facteur
R² - T².
Il est cependant facile de
montrer que ce facteur ne conduit pas à une singularité pourvu que pour
R=T, et ceci est une conséquence
de (37) et du fait que =
0 pour R=T=0.
Nous avons abouti dans notre
élaboration d’un solution, non singulière partout, des équations d’Einstein,
correspondant au cas de paires accélérées de façon opposée chaque paire étant constituée
de deux corps de masses de signe opposé.
[Notons que cette
solution est très analogue à celle trouvée par Born dans le cas de
l’électromagnétisme].
Comme T00
et m sont de même signe pour chaque corps, la masse négative que
nous prenons en compte est celle de type (iv)